Conformément
à la loi du 13 juillet 1992 qui implique
la fin de la mise en décharge traditionnelle comme mode
d’élimination des déchets
ménagers et parallèlement à la mise en
place de moyens alternatifs de traitement des ordures
ménagères, les communes et les structures
intercommunales doivent réaliser la résorption
des décharges communales situées sur
leur territoire.
Avant
travaux
Après
résorption
Afin d’engager une
démarche qui tienne compte des impacts potentiels des sites
et des réalités économiques, 2AE
Ingénierie propose de procéder en
quatre étapes :
évaluation
des risques,
définition
des travaux,
réalisation
des travaux,
suivi du site dans
le temps.
La première
étape (le
diagnostic simplifié), consiste
en la réalisation d’une étude
historique et documentaire ayant pour objectifs :
D’identifier
et hiérarchiser les degrés
d’impacts sur les cibles prioritaires, diagnostiquer les
impacts et risques potentiels du site sur le milieu en fonction de la
combinaison source (décharge), transfert (sols, eaux) et
cible (milieu récepteur).
De formuler un avis
concernant la nature et le degré d’impact
potentiel de la décharge, en fonction de ses
caractéristiques et de la sensibilité des milieux.
D’orienter
vers les suites à donner dans une logique
d’approche par étape, plus les risques
suspectés sont importants, plus nombreuses sont les
études et investigations complémentaires
à envisager avant d’engager des travaux.
Cette première phase
permet de caractériser les impacts potentiels,
conformément à la méthodologie ADEME
« remise en état des
décharges », et ainsi de
conclure :
Soit à un avant
projet sommaire de réhabilitation et les coûts
approximatifs des travaux, si le site présente des impacts
potentiels moyens à faibles, l’étape de
réalisation des travaux pouvant alors être
envisagée,
Soit à la
définition des investigations de terrain,
adaptées au site, avant d’envisager des travaux de
résorption si des risques potentiels existent. Ces
investigations complémentaires seront chiffrées
et justifiées sur le plan technique par rapport à
la réhabilitation envisagée.
Conformément à la loi du 13 juillet 1992 qui implique la fin de la mise en décharge traditionnelle comme mode d’élimination des déchets ménagers et parallèlement à la mise en place de moyens alternatifs de traitement des ordures ménagères, les communes et les structures intercommunales doivent réaliser la résorption des décharges communales situées sur leur territoire.
Avant travaux
Après résorption
Afin d’engager une démarche qui tienne compte des impacts potentiels des sites et des réalités économiques, 2AE Ingénierie propose de procéder en quatre étapes :
évaluation des risques,
définition des travaux,
réalisation des travaux,
suivi du site dans le temps.
La première étape (le diagnostic simplifié), consiste en la réalisation d’une étude historique et documentaire ayant pour objectifs :
D’identifier et hiérarchiser les degrés d’impacts sur les cibles prioritaires, diagnostiquer les impacts et risques potentiels du site sur le milieu en fonction de la combinaison source (décharge), transfert (sols, eaux) et cible (milieu récepteur).
De formuler un avis concernant la nature et le degré d’impact potentiel de la décharge, en fonction de ses caractéristiques et de la sensibilité des milieux.
D’orienter vers les suites à donner dans une logique d’approche par étape, plus les risques suspectés sont importants, plus nombreuses sont les études et investigations complémentaires à envisager avant d’engager des travaux.
Cette première phase permet de caractériser les impacts potentiels, conformément à la méthodologie ADEME « remise en état des décharges », et ainsi de conclure :
Soit à un avant projet sommaire de réhabilitation et les coûts approximatifs des travaux, si le site présente des impacts potentiels moyens à faibles, l’étape de réalisation des travaux pouvant alors être envisagée,
Soit à la définition des investigations de terrain, adaptées au site, avant d’envisager des travaux de résorption si des risques potentiels existent. Ces investigations complémentaires seront chiffrées et justifiées sur le plan technique par rapport à la réhabilitation envisagée.